Sacralisé par les uns, diabolisés par les autres, on ne sait plus quoi penser de ces fameux produits laitiers. Autrefois mis sur un piédestal au niveau nutritionnel, notamment du fait de sa richesse en calcium, il est aujourd’hui de plus en plus décrié à cause de son implication potentielle dans les troubles digestifs et inflammatoires chroniques. Il existe à ce titre une confusion très fréquente entre l’intolérance au lactose et l’hypersensibilité aux caséines laitières. Qu’en est-il vraiment ? Faisons le point. Explorez le sujet en détail en cliquant sur les articles ci-dessous. Les produits laitiers sont-ils nécessaires pour conserver des os solides ? Lorsque l’on évoque l’intérêt nutritionnel des produits laitiers, le premier élément venant à l’esprit de la plupart est leur teneur en calcium, en faisant des aliments indispensables à la prévention contre l’ostéoporose. Consommer 2 à 3 produits laitiers par jour serait ainsi un réflexe essentiel à adopter pour conserver des os solides tout au long de la vie.Les études scientifiques indépendantes ne semblent pas toutefois pas aussi catégoriques sur le sujet. Certaines d’entre-elles révèlent qu’au contraire, il n’existe pas de corrélation directe entre la consommation de produits laitiers et la prévention de l’ostéoporose. D’autres facteurs, jouant des rôles clés dans le maintien d’une bonne santé osseuse, sont à l’inverse peu communiqués. Faisons le point. Lire l'article L'intolérance au lactose Le lactose est le sucre naturellement présent...
Lire la suiteLes formations de la nutrition positive
Formez-vous à l’approche systémique de l’alimentation, fondée sur la science Vous souhaitez acquérir une vision systémique de l’alimentation, en maîtrisant les fondamentaux de la nutrition fonctionnelle et de la micronutrition ? Vous souhaitez intégrer les enjeux écologiques dans vos conseils ? Vous recherchez une formation adaptée à votre pratique quotidienne, élaborée à partir des dernières données scientifiques validées ? Les formations de la Nutrition Positive sont faites pour vous ! Les formations de la Nutrition Positive font peau neuve ! Le format du cursus de La Nutrition Positive évolue pour s’adapter au mieux à vos attentes et aux outils pédagogiques récents. Nous faisons en effet désormais appel à la méthode dite de « blended learning », associant tous les avantages du e-learning avec le plaisir social et la convivialité du présentiel. Découvrez notre Programme de formation Cours en e-learning Une pédagogie progressive pour un enseignement adapté à votre propre rythme Classes virtuelles mensuelles Des échanges sur les contenus pédagogiques, créateurs de liens entre les membres de la promotion et les enseignants Classes en présentiel Des formations à Paris tout au long du cursus pour compléter le parcours virtuel et créer du lien social Débutez quand vous le souhaitezLe cursus de la Nutrition Positive a été élaboré de façon à optimiser votre progression pédagogique ; il est par ailleurs organisé sous forme de promotion pour profiter pleinement du lien humain.Si...
Lire la suiteLes formations E-learning de La Nutrition Positive
Les formations de La Nutrition Positive évoluent pour s’adapter au mieux à vos attentes et à l’actualité, vous avez en effet été nombreuses et nombreux à nous demander de pouvoir disposer de nos enseignements en format e-learning. Nous vous avons entendu ! Les formations de la Nutrition Positive font peau neuve ! Nous avons le plaisir de vous présenter le nouveau format de nos formations, un « blended learning » flexible tout en préservant le lien humain. ProchainementVOS FORMATIONS EN E-LEARNING En option : un accompagnement individualisé assuré par l’équipe pédagogique. Débutez quand vous le souhaitez! Le cursus de la Nutrition Positive a été créé selon une progression pédagogique et s’organisera en promotion pour préserver le lien humain.Néanmoins, il vous est possible d’intégrer la promotion en cours et de débuter votre parcours pédagogique à n’importe quel moment grâce à la flexibilité de l’e-learning. Il vous appartiendra d’adapter le temps que vous dédierez à votre cursus de formation pour optimiser votre progression. Modulez votre apprentissage ! La formation est totalement modulaire pour s’adapter à vos besoins et à vos envies : vous êtes libre de choisir les modules que vous souhaitez suivre dès lors que vous ne souhaitez pas être certifié(e) en fin de cursus. Je souhaite être informé(e) dès la sortiede la FORMATION E-LEARNING Pour quelles raisons choisir La Nutrition Positive ? Un enseignement fondé sur les dernières connaissances scientifiques,...
Lire la suiteLe SOPK touche 1 femme sur 10 : alimentation et mode de vie comme précieux leviers d’action
Auteure : Géraldine Galan | Docteur en Pharmacie Le syndrome des ovaires polykystiques, communément appelé SOPK, vous connaissez ? Ce terme, disons-le barbare, désigne une pathologie hormonale féminine qui toucherait 1 femme sur 10 selon les sources officielles1. Elle se traduit en particulier, au niveau clinique, par : Des cycles menstruels irréguliers,Des troubles de la fertilité,Une hyperandrogénie (niveau anormalement élevé d’hormones masculines) dont les manifestations cliniques sont d’intensité très variable selon les femmes, et parmi lesquelles figurent : hirsutisme (hyperpilosité), alopécie (chute de cheveux) et/ou acné,Des troubles métaboliques : pré-diabète, surpoids, risque cardio-vasculaire accru. Nota : chacun de ces symptômes pris isolément peut avoir d’autres origines que le SOPK. SOPK, un diagnostic trop tardif Le diagnostic de SOPK est à ce jour officiellement établi sur la base des « critères de Rotterdam » dont au moins deux doivent coexister, parmi : Troubles des cycles menstruels.Hyperandrogénie (avec symptômes cliniques ou établie sur la base de dosages biologiques).Echographie pouvant mettre en évidence des ovaires augmentés de volume et/ou la présence de multiples follicules immatures (voir définition en encadré) sur un ovaire ou les deux. Ce dernier critère n’est requis que sous condition d’âge et de symptomatologie annexe chez la femme. Les follicules ovariens Ce sont de petits « sacs » présents dans chaque ovaire et qui contiennent les futurs ovocytes (communément appelés « ovules ») dont un exemplaire sera libéré au moment de l’ovulation après un long processus de maturation. Théoriquement, une ovulation...
Lire la suiteLes vertus nutritionnelles de l’oeuf
Pourquoi l’œuf est-il bien plus que du cholestérol ? Une protéine alimentaire de référence A l’image de Rocky Balboa consommant ses œufs crus, l’œuf bénéficie à juste titre d’une réputation de source protéique d’excellente qualité. Il a d’ailleurs été considéré pendant très longtemps comme l’aliment protéique de référence au regard de son aminogramme, notamment grâce à la complémentarité des protéines du jaune et du blanc. Pour rappel, l’aminogramme quantifie la valeur en chaque acide aminé essentiel et permet ainsi de définir son indice chimique. Pour en savoir davantage sur l’importance de la qualité des protéines, je vous invite à lire mon article Que faut-il savoir sur les protéines ? Pour que la protéine d’œuf soit bien assimilée, le jaune doit être encore coulant et le blanc cuit (donc blanc). Lorsque le blanc est encore cru, l’albumine est en effet moins bien assimilée. De plus, une protéine spécifique, l’avidine, présente dans les blancs d’œufs crus se lie à la biotine, empêchant alors celle-ci d’être bien absorbée. A l’inverse, la cuisson permet d’inactiver l’avidine. Le jaune cuit (donc dur) est dénaturé par la cuisson, perdant alors de sa qualité et de sa digestibilité. Un œuf dur ou en omelette sera par exemple bien plus difficile à digérer qu’un œuf coque, mollet ou poché. J’ai également évoqué précédemment l’importance de la cuisson sur la préservation de la qualité des oméga 3 de l’œuf, surtout lorsqu’il est...
Lire la suite